#Monuments Historiques de Paris

[famousinuniverse]

Hôtel de Ville, Paris, France: The Hôtel de Ville is the city hall of Paris, France, standing on the Place de l'Hôtel-de-Ville – Esplanade de la Libération in the 4th arrondissement. The south wing was originally constructed by Francis I beginning in 1535 until 1551. The north wing was built by Henry IV and Louis XIII between 1605 and 1628. Wikipedia

[richwall101]

The Opera House - Paris - 1900 & 2000

The Palais Garnier also known as L'Opéra Garnier is a historic 1,979-seat opera house at the Place de l'Opéra in the 9th arrondissement of Paris, France. It was built for the Paris Opera from 1861 to 1875 at the behest of Emperor Napoleon III. Initially referred to as le nouvel Opéra de Paris (the new Paris Opera), it soon became known as the Palais Garnier, "in acknowledgment of its extraordinary opulence" and the architect Charles Garnier's plans and designs, which are representative of the Napoleon III style. It was the primary theatre of the Paris Opera and its associated Paris Opera Ballet until 1989, when a new opera house, the Opéra Bastille, opened at the Place de la Bastille. The company now uses the Palais Garnier mainly for ballet. The theatre has been a monument historique of France since 1923.

[mozartbachtoven]

Grand Staircase of Palais Garnier, Paris. 1875.

The Palais Garnier (Garnier Palace), also known as Opéra Garnier , is a historic 1,979-seat opera house at the Place de l'Opéra in the 9th arrondissement of Paris, France.

It was built for the Paris Opera from 1861 to 1875 at the behest of Emperor Napoleon III. Initially referred to as le nouvel Opéra de Paris (the new Paris Opera), it soon became known as the Palais Garnier, "in acknowledgment of its extraordinary opulence" and the architect Charles Garnier's plans and designs, which are representative of the Napoleon III style. It was the primary theatre of the Paris Opera and its associated Paris Opera Ballet until 1989, when a new opera house, the Opéra Bastille, opened at the Place de la Bastille. The company now uses the Palais Garnier mainly for ballet. The theatre has been a monument historique of France since 1923

Photographers: Merike Joosep as posted on Ancient Wonders in Archeology, Art History, and Architecture

Thank you FB @Spectacular World Places

[worldsandemanations]

Restaurant Le Train Bleu Paris, France: Le Train Bleu (“The Blue Train”) is a restaurant located in the hall of the Gare de Lyon railway station in Paris, France. It was designated a Monument Historique in 1972

[claudehenrion]

Retour à Ravenne

Une des rares choses que j'ai trouvées agréables pendant mon exercice de ''retrait de la vraie vie pour cause de désespoir profond'', c'est la possibilité de pouvoir rêver à des hypothèses qui ne font normalement pas partie de mes soucis quotidiens. Par exemple, je n'ai jamais le temps de me poser des questions comme : ''Le monde allant si mal, où ai-je envie de me réfugier, pour attendre la fin��?''... Sorti des poncifs incontournables (''les villes où je pourrais vivre, hors Paris, sont Rome et Athènes'' –auxquelles j'ajoute, moi, mon cher Rabat, unique objet de mes désirs secrets), on est très vite essoufflé. L'île Maurice, peut-être ? Et au delà ?

C'est lors d'une de ces ''rêveries d'un promeneur solitaire'' que m'est revenu, brutalement, un souvenir en forme d'éclair : Ravenne, à laquelle tant de moments d'extase m'attachent. On a beau avoir été prévenu par des parents ou des amis qui y ont été avant vous, l'électro-choc culturel, historique, esthétique et autres est assuré. En venant de Rome, il a d'abord fallu traverser ce désert humain et artistique qu'est la côte entre Ancona et Cesenatico : un étalage de toute la laideur, la vulgarité, la prétention, le néant dont est capable notre époque. Des foules immenses, heureuses de leur ''laisser-aller'', des hordes de caricatures déguisées en touristes, des tenues ''négligées'' par millions, des usines à malbouffe par centaines de milliers, des hôtels moches par dizaines de milliers, des SUV trop gros par milliers... tout est laid, vulgaire, raté... Au loin, le rocher de San Marino domine à pic ce paysage désolé, mais n'intéresse personne : il est trop loin du bruit et des ''boum-boum'' des sonos trop fortes...

On manque d'abandonner lorsque cela se transforme en marécages plus ou moins asséchés, assez désespérants, car on a l'impression qu'ils ne vont jamais finir... Et tout-à-coup, un panneau, à droite, inespéré : ''Ravenna, 3 km''. Zut : Il est trop tard pour découvrir la ville. Un autre panneau, en face ''Lido di Ravenna, 1 km''. Le temps de trouver un hôtel les pieds dans l'eau, de piquer une tête dans l'Adriatique et de louer ''una Vespa'' pour pouvoir se prendre pour Gregory Peck et Audrey Hepburn dans ''vacances romaines'' (l'obligation de porter des casques –rouges dans ce cas-- garantissant que le rêve ne durera que quelques secondes !), et on est prêt pour la visite.

Et c'est là que le ciel vous tombe sur la tête : tout est beau, tout est grandiose, tout est à dévorer des yeux... Cette petite ville portuaire du delta du Po, de nos jours endormie et un peu boudée par les hordes assoiffées de vide ensoleillé et de nuits passées à se trémousser en rythme, fut en d'autres temps la seule ''charni��re'' entre l'Empire romain d'occident, en chute vertigineuse, et l'Empire byzantin, alors au faîte de sa gloire. Devenue Capitale à la place de Rome, elle a entretenu pendant près de trois siècles l'héritage gréco-latin, devenant un foyer de maintien et le creuset de ce qui sera l'Europe.

Dans un ballet étourdissant –dont les traces s'étalent devant vous à chaque tour de roue de votre ''Vespa''-- apparaissent et disparaissent des empereurs éphémères, des rois barbares (germains, burgondes, wisigoths, voire huns), des généralissimes félons et des nobles exarques, des archevêques simoniaques et des cardinaux sans points éponymes (mais empêtrés dans le débat mortel du ''filioquisme'' qui offrira, un peu plus tard, Constantinople à l'islam... et nous à un futur peu prometteur), des architectes de génie, des créateurs de merveilles et des bâtisseurs pleins d'une foi évidemment d'inspiration divine, qui vont donner naissance à un monde nouveau dont la beauté vous explose littéralement au visage, dans un mariage réussi entre Rome, Byzance, Athènes, Jérusalem et tout le ''mare nostrum', dont Charlemagne s'inspirera (entre 793 et 813) dans la construction de sa Chapelle Palatine à Aix --dans laquelle il voudra être enseveli. en 814.

Décrire les monuments dignes de visite est inutile : d'abord parce que nous sommes dans un Blog, pas dans un guide touristique, et ensuite parce que... ils le sont tous ! En revanche, j'ai envie, en me replongeant dans les souvenirs de ces heures bénies, de vous expliquer le besoin que ces rues créent de vous faire revivre des moments de cette antiquité finalement proche (ou : rendue plus proche, grâce à elle) : c'est un temps peu connu de notre histoire, les programmes officiels ayant quelque peu tourné le dos à l'Empire byzantin. Outre Ravenne, j'ai ressenti cette attirance pour revivre l'épopée de Byzance-Constantinople dans les déserts de Syrie ou de Jordanie, où je ne pouvais me décider à quitter telles ruines de cités qui avaient été immenses (des arènes avec 15 000 places, ça implique des vraies ''villes'', avec cent mille habitants et plus !). Il faudra la poussée furieuse de l'islam pour mettre le mot ''fin'' sur cette merveilleuse aventure.

En 1453, Constantinople assiégée par Mehmet II el-Fatih (= le Conquérant) et sentant le danger de cette terrible menace, à supplié Venise, alors immense puissance maritime, d'envoyer sa flotte de galères pour desserrer l'étau. Mais l'une était ''filioquiste'' et l'autre, pas et cette querelle sur une préposition adverbiale (''par'', pour l'un, ''et'' pour l'autre !) a entraîné la fin du grandiose Empire byzantin... et a coûté aux générations suivantes un demi-millénaire (pour le moment) de malheurs, de contraintes, d'épreuves, de guerres (et de terrorisme !) et, depuis peu, de drames indescriptibles liés à la violence inhérente à l'Islam. L'histoire n'étant parfois qu'un éternel recommencement, fasse le ciel qu'une redite du destin de Ravenne (par exemple autour des mots ''amalgame'', ou ''migrant'' en lieu et place du ''filioque'' d'alors) nous soit épargnée, à nous et à nos descendants !

H-Cl.

[omagazineparis]

Les plus beaux parcs et jardins de Paris

Paris, la Ville Lumière, est célèbre pour ses monuments emblématiques, sa culture riche et son charme romantique. Cependant, elle abrite également des oasis verdoyantes en plein cœur de la ville. Les parcs et jardins de Paris offrent un refuge paisible où les habitants et les visiteurs peuvent échapper à l'agitation urbaine. Dans cet article, nous allons explorer les plus beaux parcs et jardins de Paris qui vous invitent à vous détendre, flâner et profiter de la nature. Jardin des Tuileries - Un joyau historique Situé entre le Louvre et la Place de la Concorde, le Jardin des Tuileries est un trésor historique datant du XVIe siècle. Ses allées ombragées, ses statues classiques et ses bassins apportent une touche d'élégance à la ville. Se promener dans ce jardin est une plongée dans l'histoire de Paris et une opportunité de se détendre au cœur de l'agitation. Jardin du Luxembourg - Élégance sereine Le Jardin du Luxembourg, un bijou du style français, offre un équilibre parfait entre la nature et l'architecture. Ses vastes pelouses, ses parterres de fleurs et son célèbre bassin créent une ambiance paisible. Les visiteurs peuvent profiter de chaises longues pour se détendre, lire un livre ou simplement observer la vie parisienne. Parc des Buttes-Chaumont - Nature sauvage Si vous recherchez un espace de nature plus sauvage, le Parc des Buttes-Chaumont est idéal. Ses collines, ses cascades et son lac artificiel créent un paysage pittoresque. Les sentiers sinueux invitent à l'exploration, et le belvédère offre une vue panoramique sur la ville. Bois de Vincennes - Évasion en forêt Le Bois de Vincennes est un véritable havre de paix situé à l'est de Paris. Avec ses lacs, ses bois et ses chemins tranquilles, il offre une évasion en pleine nature. Les visiteurs peuvent faire du vélo, du jogging, du bateau ou simplement se promener dans les sentiers boisés. Parc Monceau - Charme aristocratique Le Parc Monceau, niché dans le quartier chic du 8e arrondissement, dégage un charme aristocratique. Ses allées ombragées, ses sculptures et son petit lac en font un lieu romantique. C'est l'endroit idéal pour une promenade tranquille ou un pique-nique élégant. Jardin des Plantes - Beauté botanique Les amateurs de botanique apprécieront le Jardin des Plantes, qui abrite une impressionnante collection de plantes et de fleurs. C'est aussi le lieu de l'emblématique Grande Galerie de l'Évolution. Ce jardin offre un mélange captivant de beauté naturelle et d'éducation scientifique. Square du Vert-Galant - Romance sur la Seine Situé à la pointe de l'île de la Cité, le Square du Vert-Galant est un coin romantique offrant une vue magnifique sur la Seine et les ponts environnants. C'est un endroit parfait pour les amoureux, les contemplatifs et ceux qui cherchent à échapper au tumulte de la ville. Parc de la Villette - Créativité contemporaine Le Parc de la Villette est un espace moderne dédié à la créativité et à la culture. Avec ses aires de jeux originales, ses sculptures et son canal, il offre une ambiance contemporaine et ludique. Les événements artistiques et les expositions en font un lieu dynamique pour toute la famille. Parc Montsouris - Sérénité panoramique Le Parc Montsouris est un lieu de détente offrant des paysages variés, des étangs et des grottes artificielles. Les sentiers vous mèneront à travers des recoins tranquilles, et la colline centrale offre une vue panoramique imprenable sur la ville. Comment profiter au mieux de ces espaces Pour profiter pleinement des parcs et jardins de Paris, prévoyez du temps pour vous détendre, flâner, lire ou pique-niquer. Apportez une couverture, une bouteille d'eau et un bon livre pour une expérience relaxante et authentique. Questions fréquentes des lectrices sur les parcs et jardins de Paris Q1. Les parcs de Paris sont-ils gratuits ? Oui, la plupart des parcs de Paris sont gratuits et ouverts au public. Q2. Les parcs sont-ils accessibles en transports en commun ? Oui, de nombreux parcs sont facilement accessibles en métro, bus ou tramway. Q3. Peut-on faire du vélo dans les parcs ? Oui, de nombreux parcs permettent le vélo, mais assurez-vous de respecter les règles et les zones désignées. Q4. Les parcs organisent-ils des événements spéciaux ? Oui, de nombreux parcs accueillent des concerts en plein air, des expositions et des événements culturels tout au long de l'année. Q5. Y a-t-il des aires de jeux pour les enfants ? Oui, la plupart des parcs disposent d'aires de jeux pour les enfants, offrant des activités ludiques et amusantes. Les parcs et jardins de Paris sont des trésors cachés qui offrent un contraste apaisant avec l'effervescence de la ville. Que vous souhaitiez vous détendre, vous promener ou simplement vous ressourcer au milieu de la nature, ces espaces verts vous invitent à vous échapper et à profiter de la beauté de Paris sous un angle différent. Read the full article

[leblogdemarinaetjm]

MARDI 18 JUILLET 2023 (Billet 2 / 3)

Article paru tout récemment sur le Site « actu.fr/ile-de-france/paris » :

« Cette église de Paris n'est pas une des plus connues de la capitale, elle est pourtant magnifique !

Dans le 15e arrondissement de Paris, l'église Saint-Christophe-de-Javel est assez surprenante. A la fois par sa construction et ce qui attend le visiteur une fois la porte poussée.

Paris possède de magnifiques églises. Certaines très connues comme la Madeleine par exemple, d’autres beaucoup moins, à l’image de Notre-Dame du Travail dans le 14e arrondissement de la capitale ou de la bien cachée Saint-Ignace. Dans le 15e arrondissement, à proximité du Pont Mirabeau, l’église Saint-Christophe-de-Javel fait partie de ces édifices qui valent le détour. 

Une des églises de Paris les plus insolites

Située dans le quartier Javel, au croisement entre la rue Saint-Christophe et la rue de la Convention, cette église réserve des surprises. Pour la construire de 1926 à 1936, l’architecte Charles-Henri Besnard utilisa du béton armé préfabriqué.

« Nous avons, en effet, construit cette église suivant une formule très industrielle, expliquait l’architecte. Elle est constituée au moyen d’éléments de construction en béton armé, fabriqués à pied d’œuvre et sortant en série de grands moules exécutés avec la plus grande précision. Ces éléments ont été montés jusqu’à la place qu’ils devaient occuper dans la construction, puis assemblés avec les éléments voisins. C’est là une application d’une technique toute nouvelle du béton armé préfabriqué à laquelle l’église Saint Christophe de Javel doit son caractère très spécial ». 

Saint-Christophe étant le patron des voyageurs, l’église lui rend hommage à plusieurs reprises.

La peinture murale du chœur, œuvre de Henri-Marcel Magne, le représente entouré de voyageurs implorant sa protection, et de moyens de locomotion modernes (train, paquebot, ballon, avion, automobile), inspirés par les industries de transport du quartier dont les usines Citroën toutes proches.

Douze panneaux peints par Jacques Martin-Ferrières retracent sa vie. L’église possède également un vitrail de Jacques Grüber et des verres moulés de Max et Jean Braemer.

Le fronton de l’église, en brique et béton, est orné d’une grande statue du saint, œuvre de Pierre Vigoureux. 

L’église est inscrite à l’inventaire des Monuments Historiques depuis 1975. »

Nous n’irons pas jusqu’à dire qu’elle est « magnifique », mais surprenante, oui. Et au fil des années, attachante... Par contre, dans l’article, ils ont oublié de noter que la claustra de Saint-Christophe de Javel sert de décor à notre terrasse et que nous l’admirons tous les jours�� surtout aux beaux jours !

[1939-wizard-of-oz]

Peintre et écrivaine, Françoise Gilot s’est éteinte à New York ce 6 juin 2023, à l’âge de 101 ans. L’artiste a vécu entre la Californie, Manhattan et Paris où ses ateliers furent le théâtre de sa création intarissable. Ces clichés vintage incarnent l'essence de sa vie d'artiste, libre et indépendante.

Françoise Gilot nous a quittés à l'âge de 101 ans

Francoise Gilot :

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Souffrant de difficultés cardiaques et pulmonaires, l'artiste s'est éteinte dans un hôpital de Manhattan. Elle était une artiste accomplie et proche des grandes personnalités de son époque à l'image de Jean Cocteau, André Malraux ou Henri Matisse.

Une relation houleuse avec Picasso

Françoise Gilot naît le 26 novembre 1921 à Neuilly-sur-Seine, fille d’une aquarelliste qui lui transmet sa passion pour le dessin et la peinture. Elle devient la muse de Pablo Picasso dont elle partage la vie entre 1944 et 1953, bien que leur relation soit tumultueuse et ponctuée des accès de colère du peintre entretenant en même temps une relation avec Dora Maar. Leur fils Claude vient au monde en 1947 et leur fille Paloma, en 1949. Lorsque Françoise Gilot quitte Picasso — elle est la première à oser —, ce dernier, furieux, aurait déclaré « personne ne quitte un homme comme moi » selon Beaux Arts Magazine. Dans un entretien accordé au magazine Paris Match en 2012, elle confie lutter pour son indépendance : « Je tenais à ma liberté, je lui résistais. »

À San Diego, une vie en bord de mer

La créatrice refait sa vie avec le peintre Luc Simon, avec qui elle a une fille, Aurélia, en 1956, avant de rencontrer Jonas Salk. Son histoire avec le biologiste américain, inventeur du vaccin contre la poliomyélite, débute en 1969. Ils se marient en 1970, l’occasion pour Françoise Gilot de poser ses valises au sud de la Californie, à San Diego. Dans le quartier de La Jolla, le couple vit dans une maison-atelier avec vue sur l’océan Pacifique à quelques encablures du Salk Institute for Biological Studies commandé par Jonas Salk à l’architecte Louis Kahn en 1960. Un monument qui demeure aujourd’hui l’un des plus grands centres de recherche du monde et un joyau architectural, classé monument historique en 1991.

Françoise Gilot passe les dernières années de sa vie à New York, où elle possède son atelier et expose ses dessins et peintures dans de nombreux musées et collections privées. En 2021, sa toile Paloma à la guitare (1965) s’envole pour 1,3 millions de dollars lors d’une vente aux enchères chez Sotheby’s. Françoise Gilot souffrait de problèmes cardiaques et pulmonaires lit-on dans les pages du New York Times.

Par Fanny Guénon des Mesnards

7 juin 2023

Françoise Gilot in California

I : 1982, Françoise Gilot à La Jolla, Californie.© Images Press/Getty Images

Francoise Gilot atelier Paris

II : Ici, la peintre Francoise Gilot pose dans son studio et atelier parisien.© Julio donoso/Getty Images

[atotaltaitaitale]

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Thursday Throw Back… Way way back - The Oldest… Bridge in Paris

The Pont Neuf which translate to "New Bridge" is ironically the oldest standing bridge across the river Seine in Paris, France. It stands by the western (downstream) point of the Île de la Cité, the island in the middle of the river that was, between 250 and 225 BC, the birthplace of Paris, then known as Lutetia and, during the medieval period, the heart of the city. The bridge is composed of two separate spans, one of five arches joining the left bank to the Île de la Cité, another of seven joining the island to the right bank.

The name Pont Neuf was given to distinguish it from older bridges that were lined on both sides with houses, and has remained after all of those were replaced. Its name notwithstanding, it has long been the oldest bridge in Paris crossing the Seine. It has been listed since 1889 as a monument historique by the French Ministry of Culture.

Additional Fun facts about Pont Neuf:

If it was the first stone bridge to cross the Seine and fully connecting the two shores, it was also the first bridge without houses, and the first to bring an equestrian statue (statue of Henri IV).

But it is also on the Pont Neuf that was built the first pavement of Paris in the early 17th century. The second Parisian sidewalk, street Odeon, appear much later in 1780

[theodoreangelos]

La Fermette Marbeuf, Paris, France « Salle 1900 » – "1900 room" La Fermette Marbeuf was a prestigious gourmet restaurant in the Champs-Élysées quarter in the 8th arrondissement of Paris, France. Its Belle Époque Art Nouveau "1900 room" has been an official Historical Monument since December 9th, 1983. La Fermette Marbeuf est un restaurant gastronomique de 1898, du Triangle d'or du quartier des Champs-Élysées, du 8e arrondissement de Paris. Sa « salle 1900 » de style jardin d'hiver Belle Époque Art nouveau années 1900 est inscrite aux monuments historiques depuis le 9 décembre 1983. Ла Ферметт Марбеф, Париж, Франция был престижным рестораном для гурманов в квартале Елисейских полей в 8-м округе Парижа, Франция. С 9 декабря 1983 года его зал в стиле модерн эпохи бель-эпок "1900" является официальным историческим памятником.

[famousinuniverse]

Restaurant Le Train Bleu, Paris, France: Le Train Bleu ("The Blue Train") is a restaurant located in the hall of the Gare de Lyon railway station in Paris, France. It was designated a Monument Historique in 1972. The restaurant was originally created for the Exposition Universelle (1900). Each ornate dining room is themed to represent cities and regions of France and they are decorated with 41 paintings by some of the most popular artists of that time. Wikipedia

[lilstjarna]

Zürich

Zürich est une ville située au bord d'un lac éponyme, en contre-bas des montagnes suisses. C'est une cité sportive et vivante où il est agréable de déambuler au gré des ruelles pavées et des maisons colorées.

Comment venir ?

Zürich se situe :

en avion : 50min de Genève, 1h15 de Paris

en train : 1h10 de Bâle, 1h20 de Berne, 2h30 de Dijon, 2h50 de Genève, 3h20 de Milan

en voiture : 1h de Bâle, 1h20 de Berne, 2h15 de Strasbourg ou Stuttgart

en bus : 1h de Bâle, 1h35 de Berne

Quand et combien de temps ?

Zürich se visite très bien en un week-end mais on peut rester plus longtemps afin de faire des visites de musées ou sorties en nature. Idéale à la belle saison, on profite vraiment du Zurich au printemps et en été afin de profiter des activités autour du lac. Ce n'est pas la ville la plus touristique de la Suisse ce qui permet de se promener en toute détente dans les ruelles.

Que voir à Zürich ?

Des monuments et sites historiques : Münsterhof, Spiegelgasse Platz, vieille ville, pont Münsterbrücke, square Lindenhof, Bahnhofstrasse, Niederdorf, quartier universitaire, bibliothèque de la fac, Polyterrasse, Zürich West, Viadukt, Pavillon Le Corbusier, quartier de Wiedikon

Du patrimoine religieux : église Grossmünster, église Fraumünster

Des musées : musée du chocolat, Schiffbau, Musée national suisse, Kunsthaus

Des parcs et jardins : lac, quais de la Limmat, Uetliberg, Frau Gerolds Garten, jardin chinois, Felsenegg, Mythenquai, jardin Botanique

Que voir dans les environs ?

Des villes et villages : Lucerne, Felsenegg, Rapperswil, Zoug, Winterthour, Einsiedeln

Des lieux historiques : 

Des espaces naturels : Mont Titlis, mont Pilate, Schwytz, chutes du Rhin, Flumserberg, Uetliberg, Muotatal

crédits photos @lilstjarna

[radioimpact]

SIGNEZ LA PÉTITION: Conservons à Notre-Dame de Paris les vitraux de Viollet-le-Duc. « On ne peut pas enlever des vitraux classés Monument historique », insiste l'auteur Stéphane Bern. « Pourquoi l'État s'affranchit-il des règles qu'il impose aux autres ? » https://bitl.to/3Y7I

[vivelafranceblog]

Panthéon

Monument in Paris

This building is classé au titre des monuments historiques de la France. It is indexed in the base Mérimée, a database of architectural heritage maintained by the French Ministry of Culture

The Panthéon is a monument in the 5th arrondissement of Paris, France. It stands in the Latin Quarter, atop the Montagne Sainte-Geneviève, in the centre of the Place du Panthéon, which was named after it.

The edifice was built between 1758 and 1790, from designs by Jacques-Germain Soufflot, at the behest of King Louis XV of France; the king intended it as a church dedicated to Saint Genevieve, Paris's patron saint, whose relics were to be housed in the church. Neither Soufflot nor Louis XV lived to see the church completed.

Looking upward at the first and second domes

By the time the construction was finished, the French Revolution had started; the National Constituent Assembly voted in 1791 to transform the Church of Saint Genevieve into a mausoleum for the remains of distinguished French citizens, modelled on the Pantheon in Rome which had been used in this way since the 17th century

The Tomb of Jean-Jacques Rousseau

Transfer of ashes of Voltaire to the Pantheon (1791)

Tomb and statue of Voltaire

Christ Showing the Angel of France the Destiny of Her People, mosaic by Antoine-Auguste-Ernest Hébert

The National Convention by François-Léon Siccard (1921)

Louis Napoléon, nephew of the Emperor, was elected President of France in December 1848, and in 1852 staged a coup-d'état and made himself Emperor. Once again the Pantheon was returned to the church, with the title of "National Basilica". The remaining relics of Saint Genevieve were restored to the church, and two groups of sculpture commemorating events in the life of the Saint were added. The crypt remained closed.....In 1881, a decree was passed to transform the Church of Saint Genevieve into a mausoleum again. Victor Hugo was the first to be placed in the crypt afterwards. 

Funeral of Victor Hugo on 1 June 1885

The Panthéon at night

Main façade

Panoramic view of interior

A corridor of the Crypt

Tombs of Victor Hugo (left), Alexandre Dumas (center), and Emile Zola (right)

Address: Pl. du Panthéon, 75005 Paris

Burials: Simone Veil, Marie Curie, Jean Moulin, Victor Hugo, MORE

Construction started: 1764

Opened: 1790

Architects: Jacques-Germain Soufflot, Jean-Baptiste Rondelet

Phone: 01 44 32 18 00

Coordinates: 48°50′46″N 2°20′45″E / 48.84611°N 2.34583°E

Former names: Église Sainte-Geneviève

In January 2007, President Jacques Chirac unveiled a plaque in the Panthéon to more than 2,600 people recognised as Righteous Among the Nations by the Yad Vashem memorial in Israel for saving the lives of Jews who would otherwise have been deported to concentration camps. The tribute in the Panthéon underlines the fact that around three-quarters of the country's Jewish population survived the war, often thanks to ordinary people who provided help at the risk of their own life.

Panthéon - Wikipedia

The Pantheon, Paris, France 

[guyboulianne]

SIGNEZ LA PÉTITION: Conservons à Notre-Dame de Paris les vitraux de Viollet-le-Duc. « On ne peut pas enlever des vitraux classés Monument historique », insiste l'auteur Stéphane Bern. « Pourquoi l'État s'affranchit-il des règles qu'il impose aux autres ? » https://bitl.to/3Y7I

[almanach-international]

5 janvier : la fête de la Lorraine

Les Lorrains savent-ils qu’ils ont une fête nationale ? Et une des plus anciennes au monde puisque elle date du XVe siècle. Ils ont failli l’apprendre en ce début d’année 2025 dans de fâcheuses circonstances. En effet, Aurora, un groupe héritier de Génération Identitaire, raciste, antisémite et homophobe avait appelé à marcher le 5 janvier dans les rues de Nancy pour célébrer cette date. Comme il a été rejoint par l’Action française et plusieurs autres groupes de l’ultra droite, des mouvements de gauche et d’extrême gauche avaient, à leur tour, organisé une contre-manifestation le même jour… La préfecture a jugé bon d’interdire ces deux manifestations qui risquaient de dégénérer en violences dans les rues de la capitale historique de la Lorraine.

Si les Lorrains ont presque totalement oublié cette fête, c’est que sa célébration a été totalement interdite à partir du moment où la Lorraine a été intégrée à la France en 1766. La France, pays très centralisateur, n’a jamais vu d’un bon œil les fêtes régionales, et les rares dates ont été souvent récupérées par les pires mouvements identitaires, comme la Sainte-Geneviève à Paris, et de ce fait sont ignorées par le reste de la population. En Lorraine, seul, un petit parti régionaliste, le Parti Lorrain, fondé en 2010, tente de réactiver la fête de la Lorraine. Chaque année, il organise une manifestation place Saint-Epvre,la statue du duc René II de Lorraine qui, elle, n’est pas interdite par le préfet. Le choix de ce lieu est une manière de se démarquer des mouvements d’extrême droite qui avaient l’habitude de se manifester chaque 5 janvier, place de la Croix-de-Bourgogne devant le monument commémorant la bataille de Nancy du 5 janvier 1477.

C’est cette victoire lorraine qui a été célébrée chaque 5 janvier, jusqu’à son interdiction. Cette bataille est située à la marge du roman national français car elle concerne des États qui n’existent plus, en premier lieu le duché de Bourgogne. C’était un État puissant à l’époque, il dominait le territoire de la Bourgogne et la Franche comté actuelles ainsi que les Pays-Bas bourguignon qui occupaient l’actuel Benelux. La conquête du Duché de Lorraine, État indépendant, aurait permis à Charles le Téméraire de relier tous ses domaines et de devenir un sérieux rival du roi de France.

Le duc de Lorraine, René II finit par prendre les devants et déclara la guerre au Téméraire, en mai 1475. Vite défait, il se réfugie en Suisse. Le duc de Bourgogne se retourne alors contre la Suisse et là son destin va chavirer, il est battu à la célèbre bataille de Morat, le 22 juin 1476. Les Lorrains en profitent pour se révolter contre l’occupant bourguignon. Le duché de Lorraine recouvre son indépendance, René II reprend Nancy le 7 octobre 1476. Mais le Téméraire n’a pas dit son dernier mot, et ce sera bien le dernier. Il lance toute son armée contre Nancy qui est assiégée. Mais René II, soutenu par les Alsaciens et des mercenaires suisses, écrase ses ennemis lors de cette bataille décisive devant Nancy le 5 janvier 1477. Charles Téméraire y laisse la vie, on ne retrouvera son cadavre que trois jours plus tard. La Lorraine conserve son indépendance. L’héritage du duc de Bourgogne fera l’objet d’affrontements entre la France et les Habsbourg lesquels récupèrent les Pays-Bas. La Lorraine sera plus tard cédée à la France par le dernier descendant des ducs de Lorraine. Elle sera ensuite donnée en viager au roi déchu de Pologne, Stanislas Leszczynski. À la mort de ce dernier, en 1766, elle est intégrée définitivement au royaume de France. Il ne sera plus question de célébrer son indépendance chaque 5 janvier comme l’avait ordonné René II.

Un article de l'Almanach international des éditions BiblioMonde, 4 janvier 2025